À la rencontre de Florian DA SILVA

Responsable technique et entraîneur GAF / GAM


Florian DA SILVA est né le 23 juillet 1992, et est salarié au club depuis 5 ans.
Joueur de foot lorsqu’il était enfant, il s’est tourné à l’adolescence vers la gymnastique pour ne plus quitter ce sport et son univers.
Diplômé d’un BPJEPS AGA, il est entraîneur de nos groupes GAM (des poussins aux séniors), GAF performance, mais aussi parkour et adultes agrès, tout en ayant le statut de responsable technique du club.

◼️ Quel est ton rôle au sein du club ?
À mon arrivée au club, j’étais responsable du secteur GAM compétition, puis je suis devenu par la suite responsable du secteur GAF compétition aussi, puis fini par devenir responsable technique du club.
Mon rôle dans les deux secteurs compétitifs consiste à les développer afin qu’ils restent de qualité et en corrélation avec les projets du club et des gymnastes.
Mon rôle de responsable technique est un peu différent, il se rapproche de la gestion des ressources humaines sur le plan associatif. Sur le plan gymnique, je cherche à harmoniser tous les secteurs (loisir et petite enfance en plus de compétitif) pour que chacun puisse apporter une plus-value au club. Je m’occupe également de tâches hors « sportives » telles que administratives et logistiques en lien avec le fonctionnement dans le gymnase, l’organisation et les gestion des actions du club avec l’aide de Ophélie, notre responsable administratif / communication, la mise en place des formations du club, etc.

◼️ Qu’est-ce qui te plaît dans le métier d’entraîneur ?
C’est l’apprentissage : de la recherche à la planification, à la programmation, à la transmission, à l’évolution des gyms puis à la concrétisation lors des compétitions.

◼️ Qu’est-ce qui, pour toi, est parfois compliqué ?
La complexité récurrente est de s’adapter à chaque gymnaste : selon le moment qu’il/elle traverse dans sa vie, selon la période dans laquelle il/elle se trouve, selon son état d’esprit à la fin de la journée… les séances peuvent être très différentes ! Je dirais que c’est cette complexité qui rend ce métier extraordinaire !